Afin de répondre le plus efficacement aux préoccupations de ses habitants et de poursuivre sa transformation, la Région Hauts-de-France a adopté son budget primitif pour l’année 2025. On vous en dit plus.
Le Budget Primitif 2025 de la Région Hauts-de-France s’inscrit dans un contexte économique inédit. La Région a adopté un budget volontariste pour maintenir son engagement auprès des habitants et pour poursuivre sa transformation.
Un contexte budgétaire contraint
L’adoption de la loi de finances 2025 par l’État a introduit plusieurs mesures d’économies qui influent directement sur les collectivités territoriales. Parmi elles :
- Le gel de la TVA,
- La baisse des dotations de compensation (DCRTP),
- La réduction du Fonds vert,
- L’augmentation des cotisations à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).
Ces ajustements représentent un effort budgétaire estimé à 110 millions d’euros pour 2025 et les années à venir. Face à ces défis, la Région a fait le choix de préserver ses priorités sans alourdir la fiscalité du travail.
4,1 milliards d’euros pour préserver l’investissement
Malgré les contraintes, la Région Hauts-de-France adopte un budget ambitieux de 4,1 milliards d’euros, dont 1,5 milliard consacré aux investissements. Cette approche permet de maintenir les politiques publiques tout en garantissant une gestion rigoureuse des finances.
Un budget tourné vers l’avenir…
La Région Hauts-de-France réaffirme son engagement en faveur de ses habitants et de son territoire. Malgré un cadre budgétaire exigeant, elle continue d’investir pour l’emploi, les infrastructures et la transition écologique. Ce budget 2025 s’inscrit ainsi dans une trajectoire de développement équilibré et durable, garantissant un avenir dynamique et solidaire pour tous.
Sans taxer les entreprises des Hauts-de-France !
Nouveauté cette année : l’Etat permet désormais aux Régions de prélever un « versement mobilité », une nouvelle taxe sur les entreprises. La Région Hauts-de-France a fait le choix de ne pas mettre en place cette taxe malgré les ponctions de l’Etat sur le budget des collectivités.
